FTDES Recrute un(e) chargé (e) de migration

0
INTITULÉ DU POSTE : chargé – e –  de migration
  • Durée du contrat : CDD de 12 mois avec une période d’essai de deux mois à temps plein.
  • Horaire de travail : durée hebdomadaire légale
  • Poste basé à Tunis
  • Rémunération : attractive et valorisant le profil et les performances du candidat
STRUCUTURE : Le Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux (FTDES) est une organisation tunisienne déclarée au journal officiel en 2011. Le FTDES est une organisation non gouvernementale, neutre, indépendante de tout parti politique. Elle a été créée en 2011 dans le but de défendre les droits économiques et sociaux des populations sur le plan national et international. Le FTDES travaille sur les thématiques suivantes : droit du travail, droit des femmes, droits environnementaux et droits des migrants, justice transitionnelle, Le FTDES fait partie de différents réseaux internationaux dont la FIDH, Migreurop, Loujna Tounkaranké, Boats 4 People. MISSION PRNCIPALE :  Sous la supervision du comité directeur et le directeur exécutif, Le -La chargé -e-  de migration est responsable de garantir la bonne planification, la mise en œuvre et le suivi des activités du département migration. DESCRIPTIF DU POSTE :
  • Coordonner et exécuter les activités du département migration en s’assurant que les buts et les objectifs soient atteints.
  • Mettre en place les outils de suivi et assurer le reporting.
  • Contribuer à la préparation de nouvelles propositions de projets.
  • Planifie le déroulement du département
  • Coordonner les campagnes de Sensibilisation aux droits des migrants
  • Un travail de recherches de données à travers des sources secondaires (médias, travaux universitaires, séminaires, ouvrages, rapports associatifs, données institutionnelles…)
  • Capitaliser des données récoltées.
  • Formuler et transmettre les données aux analystes du FTDES
  • Rédaction de la newsletter « Migration » du FTDES.
  • Suivi des réunions avec des familles de migrants disparus et les migrants subsahariens en Tunisie.
  • Assurer une veille quotidienne et Récolter de données concernant : l’enfermement, l’accès aux droits, les actes discriminatoires, la criminalisation des migrants, les systèmes de secours et de contrôle étatique s’appliquant aux frontières terrestres et maritimes de la Tunisie. et en effectuer le reporting par l’écriture d’articles et la mise à jour de la base de données du département migration..
QUALITES REQUISES
  • Master en sociologie ou domaine pertinent.
  • Capacité d’adaptation à l’évolution des missions, des problématiques, des méthodes et des outils ;
  • Sens de l’organisation.
  • Très bonnes compétences rédactionnelles (arabe/français)
  • Excellentes capacités d’analyses, de synthèses et de rédaction : Arabe, Français et et maitrise des outils bureautiques.
  • Avoir des connaissances en anglais est également un atout.
  • Une expérience professionnelle dans une organisation internationale reconnue est un plus
  • Connaissances en informatique ; Word, Excel,
  • Intérêt pour le milieu associatif et adhésion aux valeurs promues par le FTDES
  •  Bon relationnel, capacité à travailler en équipe
  •  Autonomie, dynamisme, rigueur
  • Excellente connaissance de la situation des droits des migrants en Tunisie
DATE DE PRISE DE FONCTION : le 01 février 2016. DATE LIMITE DE RECEPTION DES CANDIDATURES : le 22janvier 2016. Merci d’adresser les candidatures par courrier électronique à l’adresse suivante : recrutement@ftdes.net  

Les jeunes et la migration non réglementaire: Enquête de terrain des représentations sociales, les pratiques et les attentes

0
Sur une période de 15 ans, 22.000 personnes sont mortes lors de tentatives pour traverser la mer Méditerranée jusqu’en 2014, selon l’Organisation internationale pour la migration. Les guerres civiles en Libye, en Syrie et en Afrique Centrale encouragent un exode de peur et de fuite aux répercussions de la guerre, c’est ce qui menace tous les pays africains du nord et plus particulièrement, la Tunisie et l’Algérie. Dans étape préventive pour affronter « el hargua » ou la migration non-réglementaire, la Garde côtière tunisienne en Juillet 2013 a renforcé sa présence maritime en Méditerranée ce qui montre la mise en place d’un certain nombre de nouvelles barrières de façon à favoriser le contrôle des frontières maritimes tunisiennes et les routes menant à côtes européennes. Cette étude a, également, abordé la question de la migration non-réglementaire en Tunisie pour évaluer la taille et l’ampleur du phénomène, en particulier, chez les jeunes, les raisons de leur participation en dépit de la gravité de l’acte ainsi que la recherche des milieux et des termes juridiques de référence. L’étude comprend six quartiers de six gouvernorats différents, cité Ettadhmen (gouvernorat de l’Ariana), cité Ezzouhour (gouvernorat de Kasserine), Zarzis ville (gouvernorat de Médenine), municipalité Zahra (gouvernorat de Mahdia), quartier Tayeb Al Mhiri (gouvernorat du Kef), cité Essourour (gouvernorat de Gafsa), ces quartiers populaires sont à forte densité, avec une infrastructure usée et fragile et souffrant d’un manque d’infrastructure vitales, sanitaires ainsi que d’espaces culturels.   Abstract: Arabe – Français – Anglais abstract.jeunes.migration.ftdes Arabe jeunes.migration.ftdes  

Les jeunes et la migration non réglementaire: Enquête de terrain des représentations sociales, les pratiques et les attentes

Sur une période de 15 ans, 22.000 personnes sont mortes lors de tentatives pour traverser la mer Méditerranée jusqu’en 2014, selon l’Organisation internationale pour la migration. Les guerres civiles en Libye, en Syrie et en Afrique Centrale encouragent un exode de peur et de fuite aux répercussions de la guerre, c’est ce qui menace tous les pays africains du nord et plus particulièrement, la Tunisie et l’Algérie. Dans étape préventive pour affronter « el hargua » ou la migration non-réglementaire, la Garde côtière tunisienne en Juillet 2013 a renforcé sa présence maritime en Méditerranée ce qui montre la mise en place d’un certain nombre de nouvelles barrières de façon à favoriser le contrôle des frontières maritimes tunisiennes et les routes menant à côtes européennes. Cette étude a, également, abordé la question de la migration non-réglementaire en Tunisie pour évaluer la taille et l’ampleur du phénomène, en particulier, chez les jeunes, les raisons de leur participation en dépit de la gravité de l’acte ainsi que la recherche des milieux et des termes juridiques de référence. L’étude comprend six quartiers de six gouvernorats différents, cité Ettadhmen (gouvernorat de l’Ariana), cité Ezzouhour (gouvernorat de Kasserine), Zarzis ville (gouvernorat de Médenine), municipalité Zahra (gouvernorat de Mahdia), quartier Tayeb Al Mhiri (gouvernorat du Kef), cité Essourour (gouvernorat de Gafsa), ces quartiers populaires sont à forte densité, avec une infrastructure usée et fragile et souffrant d’un manque d’infrastructure vitales, sanitaires ainsi que d’espaces culturels.   Abstract: Arabe – Français – Anglais abstract.jeunes.migration.ftdes Arabe jeunes.migration.ftdes  

OST: Rapport des mouvements sociaux: Novembre 2016

0

Les mouvements de protestations individuels et collectifs ont connu une tendance croissante depuis le mois de Septembre 2016 et tel a été le cas des violences aussi. Ce qui appelle à prendre toutes les mesures et la mobilisation générale nécessaires, conformément à la vision d’une stratégie visant à en éliminer toutes les causes.

Des évènements multiples ont marqué ce mois de Novembre 2016 comme les travaux de l’Instance de la Vérité et de la Dignité et tout ce qui s’en accompagne de mouvements de protestations revendiquant une transparence et provoquant des interrogations sur certains sujets comme les évènements de Seliana et l’absence de traitement de ce dossier ainsi que la pertinence des méthodes et présentations des témoignages dans les circonstances de gronde que connait le pays actuellement et si toutes les mesures ont été prises dans un processus effectif de responsabilité et de réconciliation.

Le mois de Novembre 2016 a connu, également, le retour des discussions autour des ligues de protection de la révolution et ce, après le jugement rendu dans l’affaire Lotfi Naguedh ainsi que les mouvements de protestations enregistrés dénonçant le manque d’indépendance des instances juridiques et l’instrumentalisation politique de l’affaire. Le traitement médiatique de l’affaire a été, essentiellement, politique avec la présence de personnalités politiques de divers partis a démontré en fin de compte que le dossier juridique ne présente pas l’indépendance nécessaire…

Les mois de Novembre a également été témoin de grèves et manifestations d’élèves dans tous les gouvernorats sans exception revêtant, dans certains cas, un caractère violent ainsi qu’un regroupement très important d’élèves devant le théâtre municipal de la capitale concernant le calendrier scolaire, les vacances et les examens. Ces mouvements ont vu une réactivité rapide de la part du ministère de tutelle en répondant aux revendications sans pour autant mettre fin aux manifestations. De ce fait une question se dégage, à savoir, pourquoi la réponse n’est venue que sous pressions sociales, ne fallait-il pas attendre, se concerter et faire participer toutes les parties concernées dans la prise des décisions afin d’éviter ce gaspillage ?

Français :

novembre2016.fr

Arabe

novembre2016.fr

Rapport des mouvements sociaux: Novembre 2016

0
Les mouvements de protestations individuels et collectifs ont connu une tendance croissante depuis le mois de Septembre 2016 et tel a été le cas des violences aussi. Ce qui appelle à prendre toutes les mesures et la mobilisation générale nécessaires, conformément à la vision d’une stratégie visant à en éliminer toutes les causes. Des évènements multiples ont marqué ce mois de Novembre 2016 comme les travaux de l’Instance de la Vérité et de la Dignité et tout ce qui s’en accompagne de mouvements de protestations revendiquant une transparence et provoquant des interrogations sur certains sujets comme les évènements de Seliana et l’absence de traitement de ce dossier ainsi que la pertinence des méthodes et présentations des témoignages dans les circonstances de gronde que connait le pays actuellement et si toutes les mesures ont été prises dans un processus effectif de responsabilité et de réconciliation. Le mois de Novembre 2016 a connu, également, le retour des discussions autour des ligues de protection de la révolution et ce, après le jugement rendu dans l’affaire Lotfi Naguedh ainsi que les mouvements de protestations enregistrés dénonçant le manque d’indépendance des instances juridiques et l’instrumentalisation politique de l’affaire. Le traitement médiatique de l’affaire a été, essentiellement, politique avec la présence de personnalités politiques de divers partis a démontré en fin de compte que le dossier juridique ne présente pas l’indépendance nécessaire… Les mois de Novembre a également été témoin de grèves et manifestations d’élèves dans tous les gouvernorats sans exception revêtant, dans certains cas, un caractère violent ainsi qu’un regroupement très important d’élèves devant le théâtre municipal de la capitale concernant le calendrier scolaire, les vacances et les examens. Ces mouvements ont vu une réactivité rapide de la part du ministère de tutelle en répondant aux revendications sans pour autant mettre fin aux manifestations. De ce fait une question se dégage, à savoir, pourquoi la réponse n’est venue que sous pressions sociales, ne fallait-il pas attendre, se concerter et faire participer toutes les parties concernées dans la prise des décisions afin d’éviter ce gaspillage ?   Français : novembre2016.fr Arabe novembre2016.fr

Rapport des mouvements sociaux: Novembre 2016

0
Les mouvements de protestations individuels et collectifs ont connu une tendance croissante depuis le mois de Septembre 2016 et tel a été le cas des violences aussi. Ce qui appelle à prendre toutes les mesures et la mobilisation générale nécessaires, conformément à la vision d’une stratégie visant à en éliminer toutes les causes. Des évènements multiples ont marqué ce mois de Novembre 2016 comme les travaux de l’Instance de la Vérité et de la Dignité et tout ce qui s’en accompagne de mouvements de protestations revendiquant une transparence et provoquant des interrogations sur certains sujets comme les évènements de Seliana et l’absence de traitement de ce dossier ainsi que la pertinence des méthodes et présentations des témoignages dans les circonstances de gronde que connait le pays actuellement et si toutes les mesures ont été prises dans un processus effectif de responsabilité et de réconciliation. Le mois de Novembre 2016 a connu, également, le retour des discussions autour des ligues de protection de la révolution et ce, après le jugement rendu dans l’affaire Lotfi Naguedh ainsi que les mouvements de protestations enregistrés dénonçant le manque d’indépendance des instances juridiques et l’instrumentalisation politique de l’affaire. Le traitement médiatique de l’affaire a été, essentiellement, politique avec la présence de personnalités politiques de divers partis a démontré en fin de compte que le dossier juridique ne présente pas l’indépendance nécessaire… Les mois de Novembre a également été témoin de grèves et manifestations d’élèves dans tous les gouvernorats sans exception revêtant, dans certains cas, un caractère violent ainsi qu’un regroupement très important d’élèves devant le théâtre municipal de la capitale concernant le calendrier scolaire, les vacances et les examens. Ces mouvements ont vu une réactivité rapide de la part du ministère de tutelle en répondant aux revendications sans pour autant mettre fin aux manifestations. De ce fait une question se dégage, à savoir, pourquoi la réponse n’est venue que sous pressions sociales, ne fallait-il pas attendre, se concerter et faire participer toutes les parties concernées dans la prise des décisions afin d’éviter ce gaspillage ?   Français : novembre2016.fr Arabe novembre2016.fr

Traitement judiciaire des mouvements sociaux

Remplacer l’approche sécuritaire par une approche basée sur les droits de l’Homme pour faire face aux mouvements sociaux est nécessaire à l’instauration de la stabilité sociale et politique, révèle une rapport élaboré par le Forum Tunisien pour les Droits économiques et sociaux (FTDES)   Rapport en langue arabe juridique.mvtssociaux

Rapport des mouvements sociaux: Octobre 2016

A la suite de l’annonce du budget de 2017 plusieurs réactions et protestations se sont élevées aussi bien de la part des organismes de l’Etat que de certains partis politiques ou de la société civile.

Bien que, ces manifestations n’ont pas connu une grande dimension sur terrain, à part celles des médecins ou les avocats, elles ont connu une forte couverture médiatique et plusieurs discussions sur les réseaux sociaux.

Les problématiques diverses que connait la situation économique difficile par laquelle passe actuellement le pays, à savoir : l’indice de développement faible (dans les 1%), la baisse des réserves d’eau pluviale de l’année précédente et ses répercussions sur le secteur agricole et ses travailleurs, le chômage et spécialement celui des diplômés de l’enseignement supérieur, l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat (réduit de 40% environ de puis 2011) le manque ou le recul important dans les investissements étrangers, les pressions des instances monétaires internationales, la précarité du développement dans les régions intérieures (qui n’a pas connu d’évolution notable malgré la succession de 8 gouvernements depuis la révolution) et bien d’autres problèmes nécessitent, selon ces mêmes parties, certains sacrifices et pressions afin de dépasser cette crise en instaurant une politique d’austérité et ce qui en découle.

Les plus importantes protestations citoyennes observées ont concerné la prise en compte de la précarité de la situation socio-économique et la nécessité de réduire les différentes formes de protestations, sit-ins et grèves, condition essentielle au retour vers un environnement plus sain, en plus du gel contextuel des salaires et l’augmentation des impôts et taxes (pour la création d’un certain équilibre budgétaire de l’Etat) font des travailleurs et des secteurs populaires les seuls qui en supporteront toutes les conséquences  et sont considérés comme les seuls responsables du gaspillage des ressources publiques, des impôts non versés, des politiques de développement troubles ainsi que de l’absence de l’Etat etc.

Français

octobre2016.fr

Arabe

octobre2016.ar

Rapport de l’Observatoire social tunisien: Septembre 2016

0
Rapport de l’Observatoire social tunisien: Septembre 2016